
Faces Tribute | Hommage aux visages
Campagne des Visages
L'une des principales initiatives de la Semaine de sensibilisation aux maladies mentales (SSMM) a été la campagne des "Visages de la maladie mentale", une campagne de sensibilisation nationale présentant les histoires de Canadiens qui se rétablissent d'une maladie mentale.
Nous sommes fiers des progrès réalisés par notre campagne des "Visages de la maladie mentale" au cours de ces 20 dernières années en matière de déstigmatisation de la maladie mentale au Canada et nous remercions tous les Canadiens qui ont contribué à créer un pays plus sécuritaire et accueillant pour les personnes atteintes de maladie mentale ou en convalescence. Cette année, nous apportons quelques changements et nous ne lancerons plus la campagne des Visages.
Nous partagerons une vidéo qui mettra en valeur les visages des deux dernières décennies, fera le point sur la situation actuelle de certains d'entre eux et présentera le travail acharné de nos partenaires et de nos partisans.
À l'avenir, nous continuerons à concentrer nos efforts sur notre campagne des Champions de la santé mentale, tout en poursuivant notre travail de sensibilisation auprès des pouvoirs publics.
Le travail n'est pas terminé, mais nous croyons que le Canada a parcouru un long chemin en matière de déstigmatisation de la maladie mentale, et nous pensons que nos efforts doivent désormais viser à accroître l'accessibilité et l'inclusivité des ressources en santé mentale.
Auparavant, les Visages avaient besoin de champions et maintenant ils le sont devenus - Voilà pourquoi nous n'avons plus besoin d'une campagne pour des Visages.

Les Visages de la maladie mentale 2020
Karandeep est en proie à des problèmes de santé mentale depuis l'âge de 15 ans. À 24 ans, elle a été diagnostiquée d'un trouble schizo-affectif de type bipolaire après avoir été hospitalisée sept fois au cours de la décennie précédente. À la suite de sa dernière hospitalisation pour paranoïa sévère et hallucinations visuelles, elle a suivi un programme intensif de réadaptation pour patients hospitalisés et ambulatoires qui l'a aidée à s'en sortir. Karandeep partage son parcours de rétablissement à travers des conférences et son compte Instagram de sensibilisation à la santé mentale (@livinginpeacee_), inspirant les autres à savoir qu'ils ne sont pas seuls dans cette bataille.

- Karandeep Gill (Brampton, ON)
Nos anciens Visages - Annonces d'intérêt public








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Mieux-être ensemble Canada | Espace Mieux-être Canada
Wellness Together Canada a été financé par le gouvernement du Canada en réponse à l'augmentation sans précédent de la détresse mentale due à la pandémie de COVID-19.
Bien-être ensemble Canada a été financé par le gouvernement du Canada en réponse à l'augmentation sans précédent de la détresse mentale due à la pandémie du COVID-19.
Commission de la santé mentale du Canada | Commission de la santé mentale du CanadaLa CSMC propose de nombreux outils et lignes directrices sur un large éventail de sujets liés à la santé mentale, notamment le soutien par les pairs, la prestation de soins et le rétablissement.
La CSMC offre de nombreux outils et lignes directrices sur un large éventail de sujets liés à la santé mentale, y compris le soutien par les pairs, la prestation de soins et le rétablissement.
Santé mentale des adolescents Ce site Web est dédié à aider à améliorer la santé mentale des jeunes par la traduction et le transfert efficaces des connaissances scientifiques. Il comprend une page sur les adolescents et les familles où toute personne intéressée peut en savoir plus sur la santé mentale des adolescents et le cerveau des adolescents.
Ce site Web vise à aider à améliorer la santé mentale des jeunes par l'application et le transfert des connaissances scientifiques. Il comprend une page sur les adolescents et les familles où toute personne intéressée peut en apprendre davantage sur la santé mentale des adolescents et le cerveau des adolescents.
Centre d'excellence de l'Ontario en santé mentale des enfants et des adolescents | Centre d'excellence de l'Ontario en santé mentale des enfants et des adolescentsLe Centre offre une collection diversifiée d'informations, d'outils et de services concernant la santé mentale des jeunes. Cliquez sur le lien "Centre de ressources".
Le Centre offre une collection d'informations, d'outils et de services concernant la santé mentale des jeunes. Cliquez sur le lien "Centre de ressources".
Institut national de la santé mentale< /fort>L'Institut national de la santé mentale (NIMH) est une organisation scientifique dédiée à la recherche axée sur la compréhension, le traitement et la prévention des troubles mentaux et la promotion de la santé mentale.
L'Institut national de la santé mentale (NIMH) est une organisation scientifique dédiée à la recherche axée sur la compréhension, le traitement et la prévention des troubles mentaux et la promotion de la santé mentale.
Réseau national pour la santé mentaleLe Réseau national pour la santé mentale est géré par et pour les consommateurs/survivants de la santé mentale. Son objectif est de défendre, d'éduquer et de fournir une expertise et des ressources qui profitent à la communauté canadienne des consommateurs et des survivants.
Le Réseau national pour la santé mentale est géré par et pour les consommateurs/survivants de la santé mentale. Son objectif est de défendre, d'éduquer et de fournir une expertise et des ressources qui profitent à la communauté canadienne des consommateurs et des survivants.
Healthy Minds Canada | Esprit sain Canada
Les manuels Healthy Minds Canada When Something’s Wrong fournissent des informations utiles aux enseignants et aux familles sur une variété de problèmes de santé mentale. Ils fournissent également une variété de ressources en ligne sur la santé mentale.
Les manuels Healthy Minds Canada When Something’s Wrong fournissent des renseignements utiles aux enseignants et aux familles sur divers problèmes de santé mentale. Ils fournissent également une variété de ressources de santé mentale en ligne.
Académie américaine de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescentLe site Web de l'American Academy of Child and Adolescent Psychiatry propose de nombreuses fiches d'information sur les problèmes de santé mentale.
Le site Web de l'American Academy of Child and Adolescent Psychiatry contient de nombreuses fiches d'information sur les problèmes de santé mentale.
Association américaine de psychologieL'American Psychological Association fournit des informations, des liens et des ressources sur une variété de sujets de santé mentale.
L'American Psychological Association fournit des informations, des liens et des ressources sur une variété de sujets liés à la santé mentale.
Association des psychiatres du Canada | Association des psychiatres du CanadaL'Association des psychiatres du Canada propose des brochures téléchargeables sur une variété de sujets liés à la santé mentale.
L'Association des psychiatres du Canada fournit des brochures téléchargeables sur une variété de sujets liés à la santé mentale.
Société canadienne de psychologie | Association canadienne de psychologieLa Société canadienne de psychologie propose des fiches d'information téléchargeables sur une variété de sujets liés à la santé mentale.
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Disponible à tous les peuples autochtones du Canada qui ont besoin d'une intervention immédiate en cas de crise. Des conseillers expérimentés et sensibles à la culture peuvent vous aider si vous souhaitez parler ou si vous êtes en détresse.
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Services de crise Canada | Services de crise Canada
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CAMIMH - Procès-verbal de la réunion du comité de gestion du 6 janvier 2012
CAMIMH - Procès-verbal de la réunion du comité de gestion du 27 janvier 2012
CAMIMH - Procès-verbal de la réunion du comité de gestion du 17 février 2012
CAMIMH - Procès-verbal de la réunion du comité de gestion du 9 mars 2012
CAMIMH - Procès-verbal de la réunion du comité de gestion du 30 mars 2012
CAMIMH - Procès-verbal de la réunion du comité de gestion du 20 avril 2012
CAMIMH - Procès-verbal de la réunion du comité de gestion du 22 juin 2012
CAMIMH - Procès-verbal de la réunion du comité de gestion du 23 novembre 2012
Jillian est une photographe d'aventure qui vit avec le SSPT. Elle a fait face à de nombreuses expériences traumatisantes, mais grâce au counseling, à la forme physique et à la nature, elle a pu guérir et partage maintenant son histoire pour aider les autres. Jillian a changé son état d'esprit de considérer le TSPT comme un stigmate, à l'utiliser comme une autonomisation. Persévérance - Confiance - Force - Détermination sont maintenant devenus les mots du SSPT de Jillian.
Jillian est une photographe d'aventure qui souffre de SSPT. Elle a vécu de nombreuses expériences traumatiques, mais à l'aide de suivi psychologique, de conditionnement physique, et de nature, elle a pu guérir et elle partage maintenant son expérience dans le but d'aider les autres. Jillian a changé son attitude envers le SSPT de la stigmatisation vers l'émancipation. Persévérance – Confiance – Puissance – Détermination sont maintenant les termes renforcés par le SSPT de Jillian.
CAMIMH - Réunion des membres - 5 octobre 2011
CAMIMH - Procès-verbal de la réunion du comité de gestion du 21 octobre 2011
CAMIMH - Procès-verbal de la réunion du comité de gestion du 8 novembre 2011
CAMIMH - Procès-verbal de la réunion du comité de gestion du 25 novembre 2011
CAMIMH - Rapport final - 13 décembre 2011
CAMIMH - Procès-verbal de la réunion du comité de gestion du 16 décembre 2011
À 43 ans, Anita a perdu le contact avec tous ses amis et sa famille et s'est retrouvée dans sa voiture. Anita a lutté contre le trouble bipolaire schizo-affectif pendant de nombreuses années et a été hospitalisée sept fois à partir du début de la vingtaine. Depuis qu'elle a reçu le bon traitement en 2011, Anita a fait du bénévolat au Centre de ressources pour femmes du Royal et a co-créé un groupe d'écriture pour soutenir d'autres femmes. Elle est également patiente conseillère pour les problèmes de santé mentale et s'adresse à de nombreux publics pour aider à réduire la stigmatisation entourant la psychose.
À l'âge de 43 ans, Anita a perdu contact avec tous ses amis et sa famille et s'est retrouvée à vivre dans sa voiture. Anita a souffert de troubles schizo-affectifs bipolaires pendant de nombreuses années, et a été hospitalisée sept fois à partir du début de la vingtaine. Depuis qu'elle a reçu le traitement approprié en 2011, Anita a travaillé comme bénévole auprès du Centre de ressources pour les femmes du Royal et a cocréé un cercle d'écriture afin de soutenir d'autres femmes. Elle est également une conseillère aux patients en matière de problèmes de santé mentale et s'adresse à de nombreux publics afin de contribuer à réduire la stigmatisation autour de la psychose.
Élevé dans une communauté insulaire rurale, Donovan a lutté contre la dépression et l'anxiété depuis son adolescence et avait un accès limité aux soins de santé mentale. L'élément le plus crucial des succès de Donovan en matière de rétablissement a été de trouver un sentiment d'appartenance en tant que personne queer. En 2013, Donovan est devenue la plus jeune et l'une des premières personnes ouvertement homosexuelles à occuper un poste municipal dans la province et à diriger la première reconnaissance de leur ville de la Semaine de sensibilisation aux maladies mentales et du Mois de la fierté. Donovan a également siégé au Conseil jeunesse du premier ministre et est actuellement vice-président du comité chargé d'élaborer la norme nationale canadienne sur la santé mentale des étudiants de niveau postsecondaire, la première du genre au monde.
Élevé en communauté rurale insulaire, Donovan a lutté avec la dépression et l'anxiété depuis l'adolescence et avait un accès très limité aux soins de santé mentale. L'aspect le plus décisif du succès de Donovan vers le rétablissement a été de trouver un sentiment d'appartenance à titre de personne queer. En 2013, Donovan est devenu la plus jeune et l'une des seules personnes ouvertement queer à occuper des fonctions municipales dans la province et a affirmé sa ville à reconnaître la Semaine de la sensibilisation aux maladies mentales et le Mois des fiertés. Donovan a également servi sur le Conseil jeunesse du Premier ministre et est actuellement coprésident du comité qui développe la norme nationale sur la santé mentale à l'intention des étudiants de niveau désactivé du Canada, la première de son genre au monde.
Onika a passé un total d'un an de sa vie dans des institutions psychiatriques en raison d'épisodes psychotiques provoqués par le trouble affectif bipolaire 1. Ayant grandi dans un foyer qui ne parlait pas de santé mentale, il a fallu des années à Onika pour trouver le bon traitement. Aujourd'hui, elle anime un podcast, DaintyDysh, qui traite des problèmes de santé mentale et vise à mettre fin à la stigmatisation entourant la maladie mentale.
Au total, Onika a passé toute une année de sa vie en institutions psychiatriques, en raison de crises psychotiques provoquées par un trouble affectif bipolaire de type 1. Ayant grandi dans un foyer où la santé mentale n'était pas déduite, il aura pris des années à Onika pour trouver le traitement approprié. Aujourd'hui, elle anime un podcast, DaintyDysh, qui traite de problèmes de santé mentaux et cherche à mettre fin à la stigmatisation autour des maladies mentales.
Mélissa Néron
Depuis l'enfance, Mélissa savait qu'elle était différente. Ses émotions étaient très écrasantes et à l'extrême. En vieillissant, elle a fait plusieurs tentatives de suicide et ce n'est qu'au milieu de la vingtaine qu'elle a reçu un diagnostic de trouble bipolaire avec exacerbation et TDA. Elle étudie actuellement pour devenir infirmière et veut montrer aux autres que même avec une maladie mentale, tout est possible.
Depuis l'enfance, Mélissa savait qu'elle était différente. Ses émotions étaient accablantes et extrêmes. En grandissant, elle a tenté de se suicider plusieurs fois et ce n’était qu’au moment de franchiser la mi-vingtaine qu’elle a été déclenchée avec un trouble bipolaire avec exacerbation et TDA. Elle poursuit actuellement des études d'infirmière et veut valider aux autres que même avec une maladie mentale, tout est possible.
Ayant grandi dans une région rurale de la Nouvelle-Écosse, Julie était une personne timide et introvertie qui a secrètement lutté contre l'anxiété, la dépression et les pensées obsessionnelles dès son adolescence. Tout en maintenant un haut niveau scolaire tout au long de sa scolarité, personne n'aurait reconnu les défis auxquels elle était confrontée en interne. Au cours de sa première année d'université, Julie a entamé une spirale descendante qui l'a amenée à demander de l'aide. Diagnostiquée d'anxiété, de dépression et de trouble obsessionnel-compulsif dans la vingtaine, Julie a commencé un traitement de conseil et de médicaments et a commencé son chemin vers la guérison. Julie est titulaire d'un baccalauréat en sciences et en éducation ainsi que d'une maîtrise en éducation en études du curriculum. En tant qu'enseignante, Julie a acquis une meilleure compréhension du besoin de soutien pour les jeunes vivant avec une maladie mentale. En 2014, elle est retournée à l'Université Acadia pour obtenir une maîtrise en éducation en counseling, ce qui lui a permis de travailler comme conseillère scolaire.
Ayant grandi dans une région rurale de la Nouvelle-Écosse, Julie était une personne timide et introvertie qui a lutté en secret avec l'anxiété, la dépression et les pensées obsessionnelles au cours de son adolescence. Alors qu'elle a maintenu un bon rendement académique tout au long de sa scolarité, personne n'aurait pu deviner les défis intérieurs pourvus qu'elle faisait face. Au cours de sa première année d'université, Julie a vu sa situation se dégrader, ce qui l'a forcée à enfin demander de l'aide. Alors dans sa vingtaine, Julie a été accélérée avec de l'anxiété, de la dépression et des troubles obsessionnels compulsifs, après quoi elle a amorcé un traitement constitué de counseling et de médicaments et a commencé son parcours vers le rétablissement. Julie est titulaire d'un baccalauréat en sciences et en éducation, ainsi qu'une maîtrise en éducation sur les programmes d'études. En tant qu'enseignante, Julie a acquis une plus grande reconnaissance quant au besoin de soutenir les jeunes vivants avec une maladie mentale. En 2014, elle est revenue à l'université Acadia afin d'obtenir une maîtrise en éducation et en counseling, ce qui lui a permis de travailler en tant que conseillère scolaire.
B a grandi dans une petite ferme du centre-est de l'Alberta et a passé les 8 dernières années à travailler comme ambulancier, mais termine actuellement ses études d'infirmière. B est marié à sa partenaire Alix, une enseignante préscolaire, et ensemble, ils ont une maison pleine d'échecs en famille d'accueil. B et Alix sont les parents adoptifs d'un refuge animalier local et ont accueilli toutes sortes de créatures (à fourrure et autres) à un moment ou à un autre.
B est un écrivain, un lecteur avide, un passionné de sport, un entraîneur de hockey bénévole et aime tout ce qui a trait à l'extérieur, en particulier le camping, le kayak, la randonnée et les voyages.
B travaille actuellement au lancement d'un site Web faisant la promotion du plaidoyer et de l'éducation des communautés rurales concernant les questions et la sensibilisation LGBTQ. En tant qu'homme ouvertement gay et transgenre, B est fier d'encadrer les jeunes homosexuels des communautés environnantes. Ayant grandi dans une région rurale très conservatrice de l'Alberta, B a personnellement éprouvé les difficultés de « faire son coming-out » dans des régions dépourvues de connaissances et de ressources LGBTQ et souhaite briser ces barrières, détruire les stéréotypes et s'assurer que tous ceux qui ont besoin de soutien ont accès au ressources qu'ils méritent.
Ayant également traité du SSPT lié au travail de premier intervenant, B connaît intimement le système de santé mentale et souhaite promouvoir l'amélioration des ressources de soins de santé mentale dans les régions rurales de l'Alberta.
B a grandi dans une petite ferme du centre-est de l'Alberta et a passé les huit dernières années à travailler en tant qu'ambulancier paramédical et termine actuellement ses études en sciences infirmières. B est marié à son partenaire Alix, un enseignant préscolaire, et ensemble ils sont des parents adoptifs auprès d'un refuge local pour animaux, accueillant dans leur maison un grand nombre d'animaux à fourrure ou sans. Meilleur écrivain, lecteur avide, passionné de sport et entraîneur de hockey bénévole. Il aime tout ce qui touche le plein air, surtout le camping, le kayak, la randonnée et le voyage.
B travaille actuellement au lancement d'un site web visant à éduquer et sensibiliser les communautés rurales, aux questions LGBTQ. En tant qu'homme ouvertment homosexuel et transgenre, Best fier d'encadrer les jeunes queer des communautés environnantes. Ayant grandi dans une Alberta rurale très conservatrice, B a lui-même vécu les difficultés liées à l'affirmation de son identité sexuelle dans des lieux manquant de ressources et de connaissances LGBTQ. Pour ces raisons, B veut s'efforcer d'éliminer les barrières, de détruire les stéréotypes et de s'assurer que tous ceux qui ont besoin de soutien ont accès aux ressources dont ils sont dignes. Ayant souffert de troubles de stress post-traumatique en raison de son travail en tant que premier intervenant, B connait très bien le système de santé mentale et veut promouvoir l'amélioration des ressources de soins de santé mentale dans les régions rurales de l'Alberta .
Shania est une militante des droits des autochtones de vingt et un ans, blogueuse, conférencière motivatrice des jeunes et directrice jeunesse de la Bear Clan Patrol. En mai 2014, Shania a perdu sa sœur aînée Emerald par suicide, ce qui a durement frappé Shania. Shania est tombée dans ce qui ressemblait à un tunnel sombre, incapable de voir la lumière au bout. Elle a reçu un diagnostic de TOC et de dépression. Inspirée à perpétuer l'héritage de sa sœur, Shania a lancé un blog pour sensibiliser aux droits des Autochtones et à la santé mentale. Peu de temps après, elle a commencé à transformer son travail écrit en action, en devenant une conférencière motivatrice pour les jeunes - s'adressant à des milliers de personnes à travers le Canada et même parlant à WE Day Manitoba de l'importance d'imaginer les possibilités. Shania a trouvé le pouvoir d'utiliser sa voix pour inspirer, motiver et donner aux personnes de tous âges les moyens de trouver leur étincelle, de l'allumer et de la maintenir.
Shania a vingt-quatre ans et est une militante des droits des autochtones, une blogueuse, une conférencière en motivation pour les jeunes et la directrice jeunesse au Bear Clan Patrol. En mai 2014, sa sœur aînée s'est suicidée, ce qui l'a durement frappée. Afin de rendre hommage à sa sœur, Shania a lancé un blog pour sensibiliser les gens aux droits des peuples autochtones et à la santé mentale. Ses écrits l'ont bientôt mené à passer des idées aux actes en devenant une conférencière en motivation pour les jeunes – s'adressant à des milliers de personnes à travers le Canada, y compris lors du WE Day Manitoba, où elle a présenté un discours sur l'importance d'imaginer les possibilités. Shania utilise sa voix avec ferveur afin d'inspirer, de motiver et d'autonomiser les gens de tout âge en vue de trouver leur étincelle, à l'embraser et à la maintenir allumée.
Le trouble obsessionnel compulsif (TOC) fait partie de la vie de Frédéric depuis l'adolescence. Bien que sa vie n'ait pas été immédiatement affectée par le trouble, sa santé mentale s'est détériorée à la fin de la vingtaine et pendant les 15 années suivantes. Cela l'a amené à suspendre sa carrière et à se faire soigner dans un hôpital psychiatrique pendant des mois d'affilée.
Heureusement, Frédéric disposait d'un excellent réseau de soutien composé de membres de la famille et de professionnels de la santé. Grâce, en partie, à une médication efficace et à sa foi, il a pu progressivement reprendre le contrôle de sa vie personnelle et professionnelle. Aujourd'hui, Frédéric est président bénévole de la Fondation Québécoise pour le trouble obsessionnel-compulsif (FQTOC). Dans son rôle, Frédéric cherche à aider les personnes atteintes de TOC à faire face au trouble et à mener une vie régulière. Durant son temps libre, Frédéric est également conférencier motivateur; partager ses expériences de vie avec la maladie. Il espère que ses efforts au sein de sa communauté serviront d'exemple et donneront de l'espoir à ceux qui vivent avec le TOC.
Le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) s'est présenté dans la vie de Frédéric à la fin de son adolescence. De léger durant les premières années, le TOC est devenu sévère vers la fin de sa vingtaine et pour les 15 années suivantes. La maladie l'a conduit à devoir arrêter ses activités professionnelles durant de longs mois et à séjourner en psychiatrie à l'hôpital.
Heureusement, Frédéric a fourni d'un excellent support familial et médical. Grâce à plusieurs psychologues, à une médication efficace et à sa foi, il a réussi à retrouver une grande paix intérieure et un bel équilibre personnel et professionnel. Frédéric est maintenant président bénévole de la Fondation québécoise pour le trouble obsessionnel-compulsif (FQTOC) et s'efforce d'aider toutes les personnes qui souffrent de TOC à améliorer leur qualité de vie. Il donne aussi des conférences-témoignages sur son parcours avec la maladie mentale et souhaite donner de l'espoir et de la force à ses paires.
Sylvie a reçu un diagnostic de trouble bipolaire il y a cinq ans, à la suite de changements importants dans son environnement de travail qui l'ont profondément affectée. À la suite de son premier diagnostic de trouble d'adaptation et d'une profonde dépression peu de temps après, Sylvie a subi un épisode maniaque. Cela a conduit à une hospitalisation forcée de cinq semaines.
Sylvie a toujours fait de la promotion de la santé mentale en milieu de travail sa priorité, que ce soit en sensibilisant ses collègues sur le sujet ou en les incitant à consulter des professionnels lorsque nécessaire. Sa présence sur les réseaux sociaux sert à informer les employeurs et à les sensibiliser aux différents défis associés à la maladie mentale et à la santé mentale. Bien que son cheminement vers la guérison ait connu des hauts et des bas, Sylvie croit fermement qu'il faut « laisser du temps au temps ». Elle doit son rétablissement au soutien continu de sa famille, de ses amis et aux bienfaits d'années d'activités physiques régulières.
Sylvie a reçu son diagnostic de trouble bipolaire il y a cinq ans à la suite de changements importants dans son milieu de travail qui l'ont profondément affecté. Après un premier diagnostic de troubles d'adaptation, suivi quelques semaines plus tard d'une dépression, elle a fait un épisode de manie qui a duré plusieurs semaines et s'est terminé par une hospitalisation contre son gré pendant une durée de plusieurs semaines. Sylvie a toujours fait de la promotion de la santé en milieu de travail son cheval de bataille, que ce soit en éduquant les employés et les gestionnaires ou en les stimulant mentalement à aller chercher de l'aide professionnelle lorsque cela est nécessaire. Elle est également très impliquée sur les réseaux sociaux afin de sensibiliser et d'informer les employeurs sur les différentes problématiques de santé mentale. Son rétablissement a connu des hauts et bas et il est important de « laisser le temps au temps ». ». Les facteurs déterminants de son rétablissement ont été le soutien de sa famille, de ses amis et la pratique régulière d'une activité physique qu'elle apprécie depuis des années.
Le parcours de Rachel avec la maladie mentale a commencé lorsqu'elle a reçu un diagnostic de TOC, de syndrome de Gilles de la Tourette et de trouble d'anxiété généralisée à l'âge de sept ans, suivi plus récemment de diagnostics supplémentaires de TDAH et de dépression. Malgré de nombreux obstacles en cours de route, Rachel est restée déterminée à se renseigner sur les conditions et à s'engager à se rétablir.
Elle a commencé son travail de plaidoyer au lycée en faisant des présentations au personnel et aux élèves sur la santé mentale et la stigmatisation des maladies mentales. À 18 ans, elle a transmis sa passion pour la défense des intérêts à l'Université de Winnipeg. Rachel a été déléguée au Jack Summit 2017, siège au conseil consultatif sur la santé mentale des jeunes de l'ORSW et est une ambassadrice Worth Living. En 2016, Rachel a étendu sa plateforme de plaidoyer à Instagram (@ThisIsTheDay_EndStigma) et à un site Web personnel. Elle a publié un livre sur son expérience de la maladie mentale et la stigmatisation qui y est associée. Son objectif est d'apporter une éducation significative sur la santé mentale et la maladie dans les salles de classe canadiennes.
Mettre à jourAu cours de la dernière année, j'ai régulièrement mis à jour ma plateforme de plaidoyer en ligne, This Is the Day, donné des présentations pour promouvoir la sensibilisation à la santé mentale, fait du bénévolat pour une revue littéraire et travaillé comme tuteur pour de nombreux étudiants. Cet été, je commence des rôles en tant que stagiaire en journalisme pour 24Strong, une organisation canadienne qui vise à autonomiser les jeunes femmes, et en tant que co-responsable du chapitre jack.org de mon université. Je suis ravi d'avoir été sélectionné comme récipiendaire du Prix humanitaire Terry Fox 2018.
Le parcours de Rachel avec la maladie mentale a débuté avec un diagnostic de trouble obsessionnel-compulsif, de syndrome de Tourette et de trouble d'anxiété généralisé à l'âge de sept ans. Plus tard, un diagnostic de TDAH et de dépression viendra s'y ajouter. Malgré de nombreux obstacles en cours de route, Rachel est restée animée par le désir d'en apprendre davantage sur ses conditions et de s'engager envers son rétablissement. Elle a commencé ses efforts de sensibilisation dans son école secondaire en présentant aux étudiants et au personnel sur la santé mentale et la stigmatisation qui entoure la maladie mentale. À l'âge de 18 ans, elle a poursuivi son travail de sensibilisation à l'université de Winnipeg. Rachel a été déléguée au Jack Summit 2017, siège au comité consultatif jeunesse sur la santé mentale de l'ORSW et est ambassadrice de Worth Living.
En 2016, Rachel a étendu ses activités de sensibilisation pour y inclure Instagram (@ThisIsTheDay_EndStigma) et un site web personnel. Elle a publié un livre sur son expérience avec la maladie mentale et la stigmatisation dont elle a souffert. Son objectif est de s'assurer qu'une éducation pertinente sur la santé et la maladie mentale soit à la portée de toutes les salles de classe canadiennes.
Depuis plus de 20 ans, Martin vit avec un trouble de l'humeur et une anxiété générale. Il a rendu public son état de santé pour la première fois en 2014 et n'a cessé de discuter et d'écrire sur la maladie mentale depuis. Collaborateur du Huffington Post Québec, Martin a lancé son propre blogue sur la santé mentale "Entre les Deux Oreilles" qui travaille à mettre fin aux préjugés et à la stigmatisation entourant la maladie mentale. Il attribue le fait d'écrire sur sa maladie et d'en parler publiquement comme l'aidant à suivre son propre chemin vers le rétablissement et l'acceptation de sa maladie.
Mettre à jourBeaucoup de choses se sont passées ces derniers mois. Tout d'abord, j'ai été invité en tant qu'invité dans une émission télévisée appelée Banc Public pour raconter mon histoire. Voici le lien de cet épisode diffusé en avril à la télévision publique (Télé-Québec) http://bancpublic.telequebec.tv/emissions/emission-52. L'épisode de 30 minutes est une interview de moi parlant de mon expérience en tant que père vivant avec une maladie mentale ainsi que des images de moi, de mon fils et de ma fille. Il a attiré environ 200 000 téléspectateurs et j'ai reçu beaucoup de commentaires positifs. J'ai fait deux conférences et j'en ai trois autres réservées pour cet automne. Je commence à vraiment apprécier cette plateforme en direct et mon intention est de continuer sur cette voie. J'écris toujours pour mon blog et sur ma page Facebook. Je suis toujours très actif en tant que défenseur de la santé mentale, même si je dois jongler avec un travail et une famille exigeants. Encore une fois, je n'exprimerai jamais assez de gratitude envers CAMIMH pour cette opportunité, cela m'a ouvert tant de portes et a littéralement changé ma vie.
Martin vit avec la maladie mentale depuis plus de 20 ans. Diagnostiqué avec un trouble de l'humeur ainsi qu'un trouble d'anxiété généralisée, il a pris la décision de parler ouvertement de sa condition en 2014. Contributeur au Huffington Post Québec, Martin est fondateur et éditeur-en-chef du blogue « Entre les Deux Oreilles » qui a comme mission de lutter contre les tabous et les préjugés envers la maladie mentale. Écrire sur le sujet et raconter son vécu a engendré sans équivoquer à paver la voie à son rétablissement et à l'acceptation de sa condition.
Meilleur à jourIl se passe plusieurs choses depuis quelques mois. D'abord, on m'a invité à partager mon histoire dans le cadre de l'émission de télévision Banc public. Voici le lien pour visionner cet épisode qui a été diffusé en avril sur la chaîne publique Télé-Québec : http://bancpublic.telequebec.tv/emissions/emission-52. Cet épisode de 30 minutes est composé d'un entretien où je parle de mon expérience en tant que père atteint de maladie mentale, et est accompagné d'images de mon fils et de ma fille avec moi. L'épisode a donné environ 200 000 téléspectateurs et j'ai reçu beaucoup de commentaires positifs à ce sujet. J'ai donné deux conférences et j'en ai trois autres de prévu cet automne. Je commence vraiment à prendre goût pour cette plateforme en direct et je compte poursuivre cette démarche. Je continue de contribuer à mon blogue et à ma page Facebook. Je suis toujours impliqué dans des activités de plaidoyer pour la santé mentale même si je dois jongler avec un emploi exigeant et une famille. Encore une fois, je ne pourrai jamais exprimer assez de reconnaissance envers l'ACMMSM pour cette opportunité qui m'a ouvert tant de portes et m'a profondément changé la vie.
Diplômé de l'université en 1998, Chris avait le monde entre ses mains, son avenir entièrement planifié. La maladie a tout changé. Après avoir reçu un diagnostic de trouble bipolaire à 26 ans, il a été contraint de mettre fin brutalement à sa carrière d'enseignant. Deux ans plus tard, on lui a également diagnostiqué un trouble obsessionnel-compulsif (TOC) et un trouble d'anxiété généralisée. Chris a pris la décision de cacher ses maladies, de les garder secrètes tout en recourant à la suppléance. Travaillant à sa guérison à travers de nombreuses thérapies, il a fait du rétablissement un travail à plein temps. En 2007, il a commencé à écrire une histoire sur sa bataille. Cela est devenu une force motrice dans sa guérison, lui apportant un but et un sens. En 2013, il a publié son histoire dans le monde entier, et maintenant écrit et parle, pour lutter contre la stigmatisation et pour apporter inspiration, espoir et guérison. Cela a conduit Chris à écrire et publier plusieurs livres, tout en continuant à promouvoir la sensibilisation et le changement. Il a maintenant pris la parole dans plus de 100 salles.
Mettre à jourCette année a apporté son lot de surprises dans mon rôle de porte-parole et de visage dans le but ultime de détruire les effets dévastateurs de la stigmatisation. De septembre à juin, j'ai animé plus de 50 présentations sur la santé mentale dans tout l'Ontario. Les présentations comprenaient des écoles élémentaires, intermédiaires, secondaires et des organisations. En 2018, j'ai assisté et parlé à trois conférences avec l'Ontario English Catholic Teachers' Association, à Toronto, Sault Ste. Marie et Kingston. Des présentations étudiantes ont eu lieu à Toronto, à Cornwall, à Brockville, dans la vallée du Madawaska et dans toute la région d'Ottawa, ce qui m'a permis de partager mon histoire et de changer notre façon de percevoir la maladie mentale, en fournissant des ressources et des moyens d'améliorer la qualité des soins de santé mentale.
En février et avril respectivement, j'ai eu des articles publiés dans BP Magazine (à l'échelle de l'Amérique du Nord), Catholic Teachers Magazine (à l'échelle de l'Ontario) et dans le bulletin du Centre de santé mentale Royal Ottawa. Les entrevues au cours de l'année comprenaient CTV Morning Live, CTV at 5, CTV at 6 et DCN Talk Radio. J'ai également été mise en valeur dans une vidéo spéciale sur la pauvreté avec le Toronto District School Board à la suite d'une visite à Sloane Elementary où j'ai partagé mon livre d'images illustré, Sally. Ceux-ci peuvent être trouvés sur mon site Web à l'adresse chrisnihmey.com. J'ai le plaisir d'annoncer que mon dernier livre est maintenant prêt à être imprimé : "Réflexions d'un autre côté : les survivants de la maladie mentale et les défenseurs s'unissent pour écrire". Sur une période de trois ans, j'ai travaillé avec 14 survivants de la maladie mentale et 10 défenseurs de la santé mentale pour produire une anthologie d'œuvres sur la santé mentale allant de nouvelles, de poèmes et de biographies, etc. Notre objectif est de mettre fin à la stigmatisation qui empêche souffrent de recevoir de la compassion et de l'acceptation, ce qui leur permet de s'épanouir.
Quand il termine ses études universitaires en 1998, Chris est maître de son destin, son futur assuré. La maladie fait tout basculer. Suivant un diagnostic de trouble bipolaire à l'âge de 26 ans, il est contraint de mettre fin brusquement à sa carrière d'enseignant. Deux ans plus tard, il reçoit de surcroit un diagnostic de trouble obsessionnel-compulsif (TOC) et de trouble d'anxiété généralisé. Chris décide de cacher ses maladies, de les garder secrètes en acceptant des postes de suppléant. À l'aide de nombreuses thérapies, il décide de faire de son rétablissement un emploi à plein temps. En 2007, il commence à écrire l'histoire de son combat, ce qui devient le moteur de sa guérison, donnant objet et sens à sa vie. En 2013, il présente son histoire au monde entier, et maintenant il écrit et donne des conférences afin de lutter contre la stigmatisation et de donner de l'inspiration, de l'espoir et de la guérison. Depuis, Chris a écrit et publié plusieurs livres en continuant de favoriser la sensibilisation et le changement. Il a maintenant participé à de nombreuses conférences dans plus de 100 lieux différents.
Meilleur à jourCette année m'a distribué son lot de surprises à titre de défenseur et de Visage avec le mais ultime de détruire les effets dévastateurs de la stigmatisation. Entre septembre et juin, j'ai animé plus de 50 présentations sur la santé mentale à travers l'Ontario auprès d'écoles primaires, intermédiaires et secondaires ainsi que d'organismes. En 2018, en tant qu’intervenant, j’ai participé à trois conférences données par l’Ontario English Catholic Teachers’ Association, à Toronto, Sault Ste. Marie et Kingston. Les présentations aux étudiants ont eu lieu à Toronto, Cornwall, Brockville, Madawaska Valley et dans toute la région d'Ottawa, me permettant de partager mon expérience et de changer comment la santé mentale est perçue, fournissant des ressources et des chemins vers des soins de santé mentale de meilleure qualité.
Au mois de février et d'avril, respectivement, j'ai publié des articles dans BP Magazine (distribué partout en Amérique du Nord), dans Catholic Teachers Magazine (en Ontario) et dans l'infolettre du Centre de santé mentale Le Royal d'Ottawa. Au cours de l'année, j'ai accordé des entretiens à CTV Morning Live, CTV News at 5, CTV News at 6 et DCN Talk Radio. J'ai également été présenté dans une vidéo spéciale sur la pauvreté de la Toronto District School Board après une visite à Sloane Elementary, où j'ai partagé mon livre illustré, Sally. Mes livres sont disponibles sur le site web chrisnihmey.com. Je suis fier d'annoncer que mon dernier livre, Reflections From Another Side: Mental Illness Survivors and Advocates Unite to Write, est maintenant prêt à être publié. Au cours d'une période de trois ans, j'ai travaillé avec 14 survivants à la maladie mentale et 10 défenseurs de la santé mentale afin de produire une anthologie d'écrits sur la santé mentale, y compris des nouvelles littéraires, des poèmes, des biographies, etc. Notre objectif est de mettre fin à la stigmatisation qui empêche les personnes compétentes de recevoir de la compassion et d'être acceptées, ce qui leur permettra de s'épanouir.
Le parcours de Brian vers le bien-être et la promotion de la santé mentale a commencé par une tragédie. Au plus fort de sa maladie mentale, Brian, qui faisait face à
les symptômes de la schizophrénie en abusant de drogues et d'alcool, n'ont pas pu obtenir l'aide dont ils avaient besoin. Sa vie a continué dans une spirale descendante menant finalement à la mort tragique de sa grand-mère. Après avoir été reconnu non criminellement responsable, Brian a commencé à reconstruire sa vie en l'honneur de sa grand-mère. La bonne combinaison de médicaments et de traitement a servi de base à son rétablissement. Il est rapidement devenu un patient modèle activement engagé dans son propre rétablissement ainsi que dans celui de ses pairs. Brian a maintenant les outils pour gérer sa santé mentale et est prêt à tirer le meilleur parti de sa seconde chance dans la vie. En tant que défenseur, il partage son histoire de tragédie et de rétablissement pour sensibiliser le public aux maladies mentales graves et pour honorer la mémoire de sa grand-mère.
Mettre à jourCe fut un honneur de servir de visage de la maladie mentale et de travailler avec un groupe incroyable de personnes engagées à faire progresser la santé mentale et la vie des personnes vivant avec une maladie mentale. Bien que mon temps en tant que Face soit terminé, je continue à plaider. Je dois prononcer un discours pour Ontario au travail en septembre. Je participerai également à une conférence à Hamilton en avril prochain où je partagerai mon histoire personnelle de rétablissement. Je continue de contribuer au journal électronique Recovery, une publication de l'Université de Toronto, et j'ai récemment publié un blog sur mon expérience en tant que membre de la campagne CAMIMH Faces. Je suis également fier d'annoncer que j'ai commencé une nouvelle carrière. Je travaille maintenant comme spécialiste du soutien par les pairs au Centre des sciences de la santé mentale Ontario Shores à Whitby. Actuellement, je travaille en congé transitoire pour aider ceux qui sont au début de leur cheminement vers le rétablissement. Je suis reconnaissant pour toutes les opportunités qui m'ont été offertes de défendre les droits des personnes vivant avec une maladie mentale complexe.
Le parcours de Brian vers le bien-être et la sensibilisation à la santé mentale a commencé par une tragédie. Au plus fort de sa maladie mentale, Brian, qui avait cherché refuge aux symptômes de la schizophrénie dans l'abus d'alcool et d'autres drogues, n'avait pas l'aide dont il avait besoin. Sa vie continua de sombrer vers l'auto-destruction, ce qui a finalement conduit à la mort tragique de sa grand-mère. Après avoir fait l'objet d'un verdict de non-responsabilité criminelle, Brian a commencé à reconstruire sa vie de façon à rendre honneur à sa grand-mère. La bonne combinaison de médicaments et de traitement a servi de base à son rétablissement. Il est rapidement devenu un patient modèle qui était impliqué dans son propre rétablissement ainsi que celui de ses paires. Brian est maintenant doté des outils lui permettant de gérer sa santé mentale et est prêt à profiter de cette seconde chance. En tant qu'efforts de sensibilisation, il partage son récit de tragédie et de rétablissement afin de mieux faire connaître les maladies mentales graves et de rendre hommage à sa grand-mère.
Meilleur à jourCe fut un honneur pour moi d'avoir été un Visage de la maladie mentale et de travailler avec un groupe de personnes extraordinaires qui se sont engagées à promouvoir la santé mentale et les vies des personnes atteintes de maladies mentales. Quoique ma fonction de Visage tire à sa fin, je continue de plaidoyer. Je prévois prononcer un discours devant Ontario Works en septembre prochain. Je vais également participer à une conférence à Hamilton en avril, où je vais partager mon expérience de rétablissement. Je continue de contribuer à Recovery, la revue électronique sur le rétablissement publiée par l’université de Toronto, et récemment j’ai publié un blogue portant sur mon expérience à titre de membre de la campagne des Visages de l’ACMMSM. De plus, je suis fier d'annoncer que j'ai réalisé une nouvelle carrière. Je suis maintenant un spécialiste du soutien entre paires au Ontario Shores Centre for Mental Health Sciences de Whitby. Je travaille actuellement en congé de transition, offrant du soutien à ceux et celles qui amorcent leur parcours vers le rétablissement. Je suis reconnaissant pour toutes les occasions que j'ai eues de plaidoyer pour les personnes atteintes de maladies mentales complexes.
Née à Montréal, Kharoll-Ann Souffrant est d'origine haïtienne. Sa famille ne discutait pas ouvertement de problèmes comme la maladie mentale. Ce n'est qu'au début de l'âge adulte qu'elle a reçu un diagnostic de trouble bipolaire après avoir vécu avec des symptômes dépressifs depuis l'enfance. Depuis son diagnostic il y a 7 ans, Kharoll-Ann a appris à reconnaître comment cela se manifeste, a reconstruit sa confiance et
a repris le contrôle de sa vie. Compte tenu de son implication dans sa communauté depuis l'âge de 12 ans, elle croit que son engagement a joué un rôle important dans son rétablissement. En 2015, elle a choisi de commencer à partager son histoire en public. Depuis, elle a pris la parole lors d'événements tels que TEDxQuébec et WE Day. Elle détient un baccalauréat en travail social de l'Université McGill et entreprendra des études de maîtrise dans le même domaine à l'automne. Son parcours lui a valu de nombreuses distinctions, dont le prix Femme de mérite décerné par la Fondation du Y des femmes de Montréal,
le Prix Paul Frappier du leadership jeunesse de la Fondation Montreal Community Cares, ainsi que le Prix humanitaire Terry Fox.
Mettre à jourJe suis maintenant membre du CA du Forum jeunesse de l'Île de Montréal et membre du Conseil jeunesse de Pierrefonds-Roxboro (un arrondissement de Montréal)! Je termine ma maîtrise en travail social à l'Université McGill et je postulerai pour poursuivre un doctorat en travail social à partir de l'automne 2019. Je donne toujours des conférences sur mon histoire de temps en temps, chaque fois que je suis disponible. J'ai également été sélectionnée comme lauréate pour le livre 100 Accomplished Black Women de 100ABCWomen (le livre sera lancé en septembre 2018).
Née à Montréal, Kharoll-Ann Souffrant est d'origine haïtienne. La question de la maladie mentale n'était pas soulevée ouvertement dans sa famille. Ce n'est qu'au début de l'âge adulte qu'elle a reçu le diagnostic de trouble bipolaire après avoir expérimenté des symptômes dépressifs depuis l'enfance. Depuis qu'elle a reçu son diagnostic il y a 7 ans, Kharoll-Ann a appris à comprendre à comment il se manifeste chez elle, a rebâti sa confiance en elle et a repris le contrôle de sa vie. Impliquée dans sa communauté depuis l'âge de 12 ans, elle considère que son engagement est un facteur important dans son processus de rétablissement. En 2015, elle fait le choix de partager son histoire publiquement. Elle aura notamment l'occasion de le faire sur les scènes de TEDxQuébec et de WE Day. Titulaire d'un baccalauréat en travail social de l'Université McGill, elle débutera dès l'automne une maîtrise dans le même domaine. Son parcours fut récompensé notamment par le prix Jeune femme de mérite justifiée par le Y des femmes de Montréal, le prix Paul-Frappier pour le leadership jeunesse du Montréal Community Cares et le prix humanitaire Terry Fox.
Meilleur à jourJe siège maintenant au Conseil du Forum jeunesse de l'Île de Montréal et je suis membre du Conseil Jeunesse de Pierrefonds-Roxboro (un arrondissement de Montréal)! Je termine actuellement ma maîtrise en travail social à l'université McGill et je compte m'inscrire au programme de doctorat en travail social dès la session d'automne 2019. Je continue de donner des conférences sur mon expérience à l'occasion, selon mes disponibilités. J'ai également été sélectionné par 100ABCWomen pour figurer parmi les 100 Accomplished Black Women (100 femmes noires accomplies) dans un livre qui sera lancé en septembre 2018.
Andrea Paquette, alias Bipolar Babe, a reçu un diagnostic de trouble bipolaire à l'âge de 25 ans et elle a profondément souffert de psychose, de manie et de dépression, ce qui a entraîné deux hospitalisations. Andrea a vécu une très grave tentative de suicide, mais au fil du temps, elle a accepté sa maladie et trouvé de l'espoir en partageant son histoire personnelle avec les autres. En 2009, elle a créé le Bipolar Babe Project (http://www.bipolarbabes.com) et Andrea est maintenant la fondatrice et la directrice exécutive de la Stigma-Free Society, anciennement la Bipolar Disorder Society of British Columbia. Elle est également cofondatrice du programme Stigma-Free Zone (http://www.stigmafreezone.com) et le groupe de travail de la Société est ravi de faire de Vancouver la première ville sans stigmatisation au Canada. Elle a présenté son histoire à plus de 12 000 personnes, y compris des jeunes dans les écoles et de nombreuses organisations à travers la Colombie-Britannique. Andrea a reçu une grande reconnaissance pour son travail en tant que lauréate du prix Courage To Come Back 2015 de Coast Mental Health, 2015 Top 20 Under 40 Award pour l'île de Vancouver, 2013 Mel Cooper Citizen of the Year à Victoria, en Colombie-Britannique. et le prix 2013 pour le mentorat des jeunes du Conseil national pour la santé comportementale, Washington D.C. Andrea partage son message personnel à travers le monde : "Peu importe nos défis, nous pouvons tous vivre des vies extraordinaires.
Andrea Paquette, alias « Bipolar Babe » (Bombe bipolaire), a été gravement atteinte avec un trouble bipolaire à 25 ans, et elle a gravement souffert, alternant la psychose, la manie et la dépression qui ont mené à deux hospitalisations. Andrea a presque perdu son combat contre le trouble bipolaire et a survécu une tentative de suicide, mais avec le temps, elle a appris à vivre avec sa maladie et a trouvé de l'espoir en partageant son histoire avec les autres. En 2009, elle a créé le projet « Bipolar Babe » et elle est maintenant fondatrice et directrice générale de la Stigma-Free Society, anciennement Bipolar Disorder Society of British Columbia. Elle est également la cofondatrice du « Stigma-Free Zone Program » et le groupe de travail de l'association est emballé par l'idée de faire de Vancouver la première ville libre de stigmatisation du Canada. Elle a présenté son histoire à plus de 12 000 personnes. Le travail d'Andrea a été récompensé par de nombreux prix, dont le prix Courage To Come Back 2015, nommé par Coast Mental Health, le prix Mel Cooper Citizen of the Year 2013, à Victoria, C.-B., ainsi que le prix de mentorat 2013 du National Council for Behavioral Health, à Washington D.C.. Andrea répand son message personnel partout : « Peu importe le défi, nous pouvons tous vivre des vies extraordinaires. »
Pour Dexter, parler de santé mentale n'a jamais été ouvertement discuté. Ayant grandi dans différents pays avec un père célibataire, il s'est retrouvé à plusieurs reprises comme quelqu'un qui ne s'intégrait pas à cause de son apparence. Cela, ajouté à un incident traumatisant à un jeune âge, le suivrait à l'université. La lutte pour la santé mentale de Dexter a atteint son apogée lorsqu'il a tenté de mettre fin à ses jours au cours de sa 3e année d'école. Ayant reçu un diagnostic de dépression et faisant face à l'itinérance, Dexter s'est demandé pourquoi personne ne parlait de santé mentale dans sa communauté. Cela le conduirait à divulguer son combat dans le journal de l'école. Depuis lors, Dexter a aidé à organiser des événements de sensibilisation, a présenté une conférence Tedx, a pris la parole lors de sommets, d'universités et de lycées et a partagé son histoire lors d'une session de la Banque mondiale et de l'OMS à Washington D.C. Il travaille actuellement sur un projet appelé Dance For Depression qui cherche à faire danser les jeunes pour l'espoir, la persévérance et le rétablissement. Dexter vit avec une dysthymie et un trouble d'anxiété généralisée.
Pour Dexter, la discussion autour de la santé mentale n'était jamais évoquée ouvertement. Ayant grandi avec un père monoparental dans plusieurs pays différents, il s'est retrouvé exclu des autres à répétition en raison de son apparence. Ceci, en plus d'un accident traumatique dont il fut victime lorsque très jeune, accident qui le suivra jusqu'à l'université. Le combat avec la santé mentale de Dexter a atteint son apogée lorsqu'il tenta de mettre fin à sa vie en 3e année. Diagnostiqué avec une dépression et à risque de devenir itinérant, Dexter se demande pourquoi personne ne parle de santé mentale dans sa communauté. Ceci le mena à révéler son combat dans les pages du journal de l'école. Depuis, Dexter a prêté main-forte à l'organisation d'événements de sensibilisation, a présenté un TEDx Talk, s'est exprimé devant des conférences, des universités et des écoles secondaires et a partagé son histoire lors d'une rencontre de la Banque mondiale et de l'OMS à Washington D.C.. Il travaille actuellement sur un projet intitulé « Dance For Depression » qui vise à encourager les jeunes à danser pour l'espoir, la persévérance et le rétablissement. Dexter souffre de dysthymie et de trouble d'anxiété généralisé.
Un leader engagé et un défenseur depuis son plus jeune âge, le cheminement de Samuel vers le rétablissement a commencé à l'université. Depuis sa plus tendre enfance, Samuel a remarqué qu'il était constamment préoccupé par de grandes questions auxquelles personne d'autre de son âge ne pouvait s'identifier. Puis, après avoir déménagé du Nouveau-Brunswick rural à Ottawa et fait face aux attentes élevées de l'université, des bourses d'études et de ses pairs, Samuel est devenu plus conscient que jamais qu'il pouvait vivre avec une maladie mentale. Il a ensuite cherché un traitement pour un trouble anxieux généralisé. Aujourd'hui, il utilise des outils et des techniques pour garder son anxiété gérable et continue de mener une vie active et engagée. S'inspirant d'expériences sociales et culturelles en tant que minorité linguistique et homosexuel, Samuel combine expériences professionnelles et personnelles pour délivrer des messages puissants et lutter contre la stigmatisation, tout en réalisant ses projets avec confiance. Il apprécie grandement sa famille et ses amis qui nourrissent son esprit et le motivent à évoquer le changement et à promouvoir la santé mentale et le rétablissement pour tous.
Un leader engagé et militant depuis sa jeunesse, le parcours de Samuel vers le rétablissement a repris au cours de ses études universitaires. la petite enfance, Samuel a remarqué qu'il était resté préoccupé par de grandes questions qui ne touchaient personne d'autre de son âge. Après avoir déménagé de la région rurale du Nouveau-Brunswick à Ottawa, et face aux attentes élevées de l'université, des bourses et de ses paires, Samuel est devenu plus convaincu que jamais qu'il souffrait peut-être d'une maladie mentale. Par la suite, il chercha à se faire traiter pour un trouble d'anxiété généralisé. Aujourd'hui, il a des outils et des techniques à sa disposition pour gérer son anxiété et continuer de vivre une vie active et engagée. Tirant de son expérience à titre de minorité linguistique et d'homme homosexuel, Samuel combine une expérience professionnelle et personnelle dans le but de délivrer un message puissant et de combattre la stigmatisation, tout en réalisant ses projets avec confiance. Il accorde une grande valeur à sa famille et ses amis qui nourrissent son esprit et le motivent à provoquer le changement et promouvoir la santé mentale et le rétablissement pour tous.
Cette année marque le 15e anniversaire de la guérison de Stéphanie d'un trouble bipolaire. Avant de recevoir son diagnostic, elle a été hospitalisée à deux reprises pour des épisodes dépressifs et maniaques incluant des éléments psychotiques. Afin de reprendre ses activités et la poursuite de ses rêves, Stéphanie a fait appel à une aide professionnelle en matière de médication, de psychothérapie et de musicothérapie. Elle s'est également tournée vers les ressources communautaires qui l'ont aidée à mieux gérer elle-même ses symptômes. La présence de sa famille et de ses proches, ainsi que le soutien de ses employeurs, ont également été la clé de son rétablissement.
Elle mène une vie épanouissante malgré la gestion de certains symptômes résiduels. En plus d'avoir mené une belle carrière d'actuaire, elle a parcouru l'océan avec son mari et son fils à bord de leur voilier. Récemment, elle a mis de côté sa carrière d'actuaire pour se joindre à Revivre, un organisme à but non lucratif, avec pour mandat de rendre accessible à tous ses ateliers d'autogestion en santé mentale.
L'histoire de Stéphanie démontre que personne n'est à l'abri de la maladie mentale et que tout le monde peut aspirer à s'en remettre.
Stéphanie célèbre cette année son 15e anniversaire de rétablissement du trouble bipolaire. Des épisodes de dépression et de manie (surexcitation) avec éléments psychotiques l'ont conduite à l'hôpital à deux reprises avant qu'elle ne reçoive ce diagnostic. Pour reprendre ses activités et la poursuite de ses rêves, Stéphanie s'est alors entourée de ressources professionnelles, notamment pour la médication, la psychothérapie et la musicothérapie, mais également de ressources communautaires qui l'ont aidée à assurer une meilleure autogestion de ses symptômes . La présence de sa famille et de ses proches, ainsi que le soutien de ses employeurs, ont également compté pour beaucoup dans son rétablissement.
Elle mène une vie satisfaisante malgré les symptômes qu'elle doit encore gérer. Outre un beau parcours professionnel comme actuaire, elle a aussi réalisé de magnifiques voyages sur l'océan avec son conjoint et son petit garçon à bord de leur voilier. Nouvellement, elle a mis de côté sa carrière en actuariat pour joindre Revivre, un organisme sans but lucratif, avec comme objectif de rendre accessible à tous leurs ateliers d'autogestion en santé mentale.
L'histoire de Stéphanie démontre bien que n'importe qui peut souffrir d'une maladie mentale, mais que tous peuvent aussi aspirer au rétablissement.
La lutte de Julie contre la maladie mentale a commencé à l'âge de 14 ans lorsqu'elle a reçu un diagnostic d'agoraphobie et de trouble panique. Dans les années qui ont suivi son diagnostic, elle a été hospitalisée et a eu besoin de médicaments quotidiennement. Elle a également fait face à de nombreuses années d'instabilité, ayant dû déménager plus de 30 fois et fréquenter 8 écoles pour terminer ses études secondaires. Pourtant, elle a réussi à recevoir son diplôme à temps. C'est le passé mouvementé de Julie qui a contribué à façonner qui elle est aujourd'hui. Elle est maintenant une femme forte avec une passion pour aider les autres aux prises avec des problèmes similaires. Elle donne des conférences sur la santé mentale et fait du bénévolat pour
diverses organisations. Elle est membre du comité consultatif en santé mentale de Longueuil et siège bénévolement aux conseils d'administration de la RHCS et de la CFHR, deux organismes à but non lucratif de sa communauté. Elle a également travaillé comme animatrice pour les jeunes et les adultes à l'ACSM de Wood Buffalo, en Alberta. Une réalisation majeure pour Julie a été lorsqu'elle a finalement terminé sa première entrevue télévisée à TVRS à Longueuil. L'histoire de Julie en est une de grande bravoure et de persévérance. Elle attribue son optimisme et sa force intérieure continue à tous ses succès.
Julie a reçu un diagnostic d'agoraphobie et de trouble panique à l'âge de 14 ans. Elle a dû être hospitalisée durant de nombreux mois et prendre des médicaments de façon quotidienne. Elle a également fait face à plusieurs années d'instabilité, plus de 30 déménagements et 8 écoles différentes pour terminer ses études secondaires. Malgré tout, elle a réussi à obtenir son diplôme à temps. C'est le passé tumultueux de Julie qui lui a permis de devenir la personne qu'elle est maintenant. C'est une femme dont la passion est d'aider les autres qui sont aux prises avec des di cultés similaires. Elle donne des conférences en santé mentale et œuvre bénévolement auprès de plusieurs organismes. Elle est membre de la Table de concertation en santé mentale de Longueuil et siège sur les conseils d'administration du Réseau d'Habitations Chez Soi et du Centre de Femmes du Haut-Richelieu. Elle a également travaillé comme facilitatrice pour l'Association canadienne de santé mentale de Wood Buffalo, en Alberta. Une des plus grandes victoires de Julie a été lorsqu'elle a enfin réalisé sa première entrevue télévisée au réseau TVRS de Longueuil. Le parcours de Julie fait preuve de beaucoup de courage et de persévérance. Elle attribue son succès à son optimisme et à sa force intérieure.
La lutte de Wali contre la dépression et l'anxiété a commencé après son arrestation à l'âge de 15 ans. Wali est venu au Canada du Pakistan et a lutté contre les pressions culturelles qui ont conduit à une longue période d'isolement et de rejet après son arrestation. Wali pense que notre système éducatif et nos enseignants jouent un rôle central dans le soutien aux jeunes en difficulté. En fait, il considère les anciens enseignants comme des mentors qui l'ont vraiment aidé à changer sa vie. Il a décidé de partager son histoire avec les jeunes et a contacté des médias tels que MTV, Education Canada et The Toronto Star dans l'espoir d'utiliser son expérience pour aider les autres. Aujourd'hui, Wali étudie la sociologie
à l'Université de Toronto et travaille comme mentor pour les jeunes chez Nexus Youth Services. Wali a gagné une audience incroyable sur les réseaux sociaux et, par conséquent, a sensibilisé considérablement à la santé mentale. Les actions de Wali pour construire une meilleure communauté ne sont pas passées inaperçues. En 2014, il a été nommé l'un des 20 meilleurs Canadiens de moins de 20 ans par l'Ordre du Canada et cette année, il a reçu le prix Bell Youth Hero de Safe City Mississauga en tant que conférencier/musicien pour avoir utilisé ses talents artistiques pour sensibiliser la population à la santé mentale.
Wali a souffert de dépression et d'anxiété suite à son arrestation à l'âge de 15 ans. Il est arrivé au Canada en provenance du Pakistan et il luttait contre certaines pressions culturelles qui l'ont conduit à une interminable période d'isolement et de rejet après son arrestation. Il estime que notre système d'éducation et que nos enseignants jouent un rôle primordial pour soutenir les jeunes en difficultés. D'ailleurs, il salue les enseignants qui ont croisé sa route et ont agi en tant que mentors, ce qui a réellement pensé à changer sa vie. Il a décidé de partager son histoire auprès des jeunes et s'est ouvert aux médias raconte que MTV, Education Canada ainsi que le Toronto Star dans l'espoir que son expérience puisse aider les autres. Aujourd'hui, Wali étudie en sociologie à l'Université de Toronto et il travaille comme mentor pour Nexus Youth Services. Wali s'est développé un auditoire considérable sur les réseaux sociaux et ainsi, il a pu contribuer à une grande sensibilisation en ce qui a trait à la santé mentale. Les actions de Wali dans le but d'accroître la sensibilisation en ce qui concerne la santé mentale ne sont pas passées inaperçues. En 2014, il a reçu la distinction 20 ados avec brio de moins de 20 ans par l'Ordre du Canada et cette année, il a reçu le Prix du héros de la jeunesse de Bell en tant que musicien/conférencier pour avoir mis à profit ses talents d'artiste en vue de sensibiliser les jeunes au sujet de la santé mentale.
L'agent de la GRC Peter Neily a été impliqué dans une fusillade mortelle alors qu'il travaillait à Surrey, en Colombie-Britannique. en 2011 qui a eu de graves effets émotionnels persistants. Peter souffrait en silence d'un stress post-traumatique lié à une blessure de stress opérationnel. Après de nombreuses années d'autostigmatisation, Peter a connu un moment décisif lors de la Semaine de sensibilisation aux maladies mentales 2014. Il a décidé de faire un pas courageux et de partager son histoire avec ses collègues de la GRC par le biais d'une vidéo. Cela a entraîné une incroyable vague de soutien de la part de ses collègues,
dont beaucoup ont parlé de leurs propres luttes contre la maladie mentale. Voyant l'impact positif que cela a eu, Peter ne s'excuse plus de son histoire et la vidéo a depuis été rendue publique afin que ceux qui ne font pas partie de la force puissent apprendre des expériences de Peter. Aujourd'hui, Peter continue de partager son expérience du stress post-traumatique au travail et en dehors avec l'intention de tendre la main à la communauté et d'aider les autres qui luttent. Il veut que les premiers intervenants et le personnel de soutien sachent qu'il existe des ressources disponibles et que le stress au travail peut avoir un impact sur la vie, mais vous pouvez obtenir de l'aide !
En 2011, Peter Neily, agent de la GRC, a été impliqué dans une fusillade fatale dans le cadre de son travail, à Surrey en Colombie-Britannique, ce qui a entraîné de graves séquelles émotionnelles. En silence, Peter souffrait de stress post-traumatique associé à une blessure causée par un stress opérationnel. Après plusieurs années d'autostigmatisation et lors de la semaine de la sensibilisation aux maladies mentales en 2014, Peter a décidé de parler de son vécu. Avec courage, il a choisi de franchiser une étape et de partager son histoire avec ses collègues de la GRC par le biais d'une vidéo. Cela s'est traduit par une avalanche de soutien de la part de ses collègues, dont beaucoup se sont ouverts à propos de leurs propres luttes avec la maladie mentale. Constatant l'impact positif, Peter n'a plus à s'excuser de son histoire et depuis, la vidéo a été diffusée publiquement ; ainsi, tout le monde peut tirer des leçons des expériences vécues par Peter. Aujourd'hui, Peter continue de partager son expérience avec le stress post-traumatique tant au sein de la GRC qu'à l'extérieur du travail pour venir en aide à ceux qui résisteront en silence. Il souhaite que les premiers répondants et le personnel de soutien sachent que les ressources sont disponibles et que le stress lié au travail peut avoir un impact sur la vie, mais que vous pouvez obtenir de l'aide !
Après une longue bataille contre la boulimie qui a commencé à l'adolescence, Patricia est fière de s'appeler une survivante des troubles de l'alimentation. Bien qu'elle souffre occasionnellement d'anxiété alimentaire, Patricia contrôle maintenant sa vie et est prête à aider les autres aux prises avec une maladie mentale. Dans le cadre de son processus de guérison en cours, Patricia a commencé son plaidoyer en tant que blogueuse sur www.healthyplace.com où elle a partagé son expérience personnelle et son chemin vers le rétablissement. En conséquence, elle a maintenant une présence active sur les réseaux sociaux et utilise cette plateforme pour fournir un soutien par les pairs. Dans sa communauté, elle aussi
bénévoles au conseil d'administration de TRACOM, un centre de crise de Montréal offrant des services d'intervention psychosociale pour les adultes ainsi que leurs proches. En 2014, Patricia a été invitée à témoigner de son expérience vécue avec un trouble de l'alimentation au Comité permanent de la condition féminine de la Chambre des communes (FEWO), à Ottawa. Les expériences de Patricia avec la maladie mentale ont grandement façonné sa perception de ce que signifie être en bonne santé.
Après un long combat avec la boulimie ayant débuté à l'adolescence, Patricia est fière d'avoir survécu à son trouble de comportement alimentaire. Bien qu'elle souffre parfois d'anxiété liée à son alimentation, Patricia a maintenant le contrôle de sa vie et est prête à aider les autres aux prises avec une maladie mentale. Dans le cadre de son processus de guérison, Patricia a commencé à partager son expérience et cheminement en tant que blogueuse sur www.healthyplace.com . Elle est maintenant très active sur les réseaux sociaux et utilise cette plateforme pour offrir un soutien à ses paires. Dans sa communauté, elle siège à titre de bénévole au conseil d’administration du centre de crise TRACOM à Montréal, un organisme qui o re des services psychosociaux d’intervention de crise aux adultes en besoin ainsi qu’à leurs proches. En 2014, Patricia a été invitée à témoigner de son expérience vécue avec un trouble de comportement alimentaire au Comité permanent de la condition féminine (FEWO), à Ottawa. Les expériences de Patricia avec la maladie mentale façonnent grandement sa perception de ce que signifie être en bonne santé.
Kendra n'avait que 19 ans lorsqu'elle a été acceptée dans l'équipe de hockey féminin des moins de 22 ans d'Équipe Canada. Pour un observateur, il semblait que les choses ne pouvaient pas aller mieux ; cependant, Kendra a réalisé que quelque chose n'allait pas. N'étant plus en mesure de fonctionner avec les défis auxquels elle était confrontée, elle a volontairement quitté Équipe Canada et son rêve de toujours afin de demander de l'aide. Kendra a ensuite reçu un diagnostic d'anxiété généralisée, de trouble panique grave, d'agoraphobie, de trouble obsessionnel compulsif et de dépression clinique. Depuis son diagnostic et sa guérison, Kendra a fait d'énormes efforts pour
éliminer la stigmatisation entourant la maladie mentale. Elle est conférencière professionnelle et défenseure de la santé mentale. Par l'intermédiaire de son organisation mentallyfit, Kendra travaille avec de nombreux conseils scolaires, hôpitaux et organismes de santé mentale, ainsi qu'au sein du domaine corporatif. Elle est la porte-parole de l'initiative RBC Run for the Kids en faveur de la santé mentale des jeunes à l'hôpital Sunnybrook. Kendra est également une fervente partisane de la communauté LGBTQ, travaillant avec des organisations telles que You Can Play. Bien que les rêves de Kendra de devenir joueuse de hockey professionnelle ne se soient peut-être pas réalisés, la passion et le dynamisme dont elle a fait preuve sur la glace sont maintenant présents dans ses efforts pour bâtir une communauté meilleure, plus saine et plus forte.
Kendra était âgée de seulement 19 ans lorsqu'elle a été intégrée à l'équipe canadienne féminine de hockey pour femmes de moins de 22 ans. Pour un simple observateur, tout semblait aller à ; cependant, Kendra réalisait que quelque chose clochait. N'étant plus en mesure de relever les défis qui se présentaient à elle, elle a quitté l'équipe canadienne féminine de hockey mettant fin à son rêve, et ce, afin d'aller chercher de l'aide. Par la suite, Kendra a reçu un diagnostic d'anxiété généralisée, d'un trouble sévère de panique, d'agoraphobie, d'un trouble obsessionnel compulsif et de dépression clinique. Depuis ce diagnostic et en rétablissement, Kendra a fait des efforts phénoménaux pour réduire la stigmatisation portant sur la maladie mentale. Elle est conférencière professionnelle qui milite pour la santé mentale. Grâce à son organisation mentallyfit, Kendra collabore avec de nombreuses commissions scolaires, hôpitaux et organismes en santé mentale, de même que dans le domaine corporatif. Elle est la porte-parole ofcielle de RBC Run for the Kids, organisme de soutien en santé mentale chez les jeunes, au Sunnybrook Hospital. Kendra est également impliquée au sein de la communauté LGBTQ, collaborant avec des organismes tels que You Can Play. Bien que le rêve de Kendra de devenir une joueuse de hockey professionnelle ne se soit pas concrétisé, la passion et l'énergie qu'elle démontrait alors sur la glace sont présentes dans sa volonté à bâtir une communauté plus forte.